martes, 21 de abril de 2015
Fernando Savater: Inactuel
Des langues en lesquelles je suis capable de lire, mon préférée, c'est le français et dans cette langue, les essais philosophiques. Cette année, j'ai lu Présentation de ma philosophie du grand Marcel Conche, peut-être le philosophe le plus purement tel encore vivant: didactique, métaphysique et terriblement sérieux (personne n'est parfait). Aussi le beau L'intuition de l'instant, d'un de mes affectionnés d'autrefois, Gaston Bachelard, que comme il écrit bien il peut être lu quand la plupart de ses contemporains existentialistes ou marxistes résultent indigérables: là il traite du seul sujet qui ne peut pas être démodé, le temps. En italien, que je connais mal mais je m'amuse en décodant, Leopardi de Pietro Citati, une biographie et interprétation du prince intellectuel de Recanati. L'anglais, c'est le meilleur pour le roman et voilà j'ai lu Science-Fiction Classics. The Stories That Morphed into Movies, une anthologie préparée par Forrest J. Ackerman des principaux récits de science-fiction qui ont fini par être des films remarqués du genre, comme The Skrinking Man ou Dr. Cyclops. Pure plaisir. Et en espagnol, La fase del rubí de Pilar Pedraza, un de peu de romans qui me restaient à connaître de ma romancière préférée en cette langue, et Relámpagos, la dernière collection d'aphorismes du maître du genre, Ramón Eder.
Le reste, comme quelqu'un a dit à la fin d'une autre pièce célèbre, c'est du silence.
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